Visite surprise {Libre}

Je revenais d'une balade des plus étrange, j'avais rencontré Mion Sonozaki, très gentil nous nous entendions bien mais sa soeur est arriver est a protester racontant qu'elle était Mion et l'autre Shion, la première ne protesta pas. Il y a eu aussi l'arrivée de Kiriyama Akamatsu un ami de la famille qui paraisser assez ... Kiriyama travaille a la clinique du village et cherche un logement il voudrais aller chez les Sonozaki mais apparemment la famille est assez sévère, il pourrait allez chez sa Shion. La vraie Shion s'était au près de nous d’avoir mentie en expliquant ses raison qui me paresser juste, Kiriyama sembler un peu énervé et énerva Shion qui changea attitude très vite, elle s’énervé sur Kiriyama qui apparemment aller aussi s’énervé, il raconter a cause des Sonozaki ça famille était morte.
Le silence régner ce qui était au départ de simple rencontres, était partie en eau de boudin, je ne les connaît pas assez pour m’en mêler mais les Sonozaki était une famille dite noble, elle éliminer les gêneur un peu comme ma famille. Je ne savais pas trop comment réagir. Je repensais a tout ça en arrivant chez moi, cette grande et toutes nouvelle demeure qui m'appartenais a moi seul. Ma maison est typiquement japonaise, en partie moderne. Elle est entouré de verdure, je m'avancer sur l'aller de galets blanc et gris, arriver a la porte blanche avec le grillage noir, je l'ouvris et rentra chez moi. Le sol de l'entrée est en bois foncé et abîmée sur la gauche des porte de placard et a ma droite un armoire pour chaussure. Je m'assis sur le rebord de la maison sur enlever mes basket, les pose et continue ma route, je passe la porte coulissante de gauche pour arriver au salon, trempé je pris une serviette dans l'un des cartons pas encore ranger pour me sécher, je me suis aussi changé, un kimono noir avec des nuages bleu dessus. Dans le salon j'ouvris la porte coulissante pour regarder la pluie tomber assise sur le parquet du chemin couvert, je m'allonger une serviette sur mes cheveux humides, tourné sur le côté je regardais la pluie tomber sur l'eau. Dix, vingt, peut être trente minute avant que je ne sorte de ma rêvasserie, la sonnerie de l'entrée me réveilla, qui pouvait bien passer a cette heure près de 20h du soir, je me relever et partie ouvrir la porte, je ne reconnaissez pas le silhouette, j'ouvris la porte pour découvrir dans la nuit noir...

» [LIBRE]Une clinique (toujours) comme les autres